«Dans ce pays sans âge on ne parle pas de nationalité mais de peuple. On ne compte pas en kilomètres mais en jours de route. Quand on se quitte on se dit «Zenda Basch» (sois vivant) parce que l’existence est incertaine.» Fasciné par la lecture des «Cavaliers» de Joseph Kessel, Louis Meunier rêve d’assister à un buzkashi, un tournoi redoutable où les cavaliers, les «tchopendoz», ne craignent ni les blessures ni la mort. Louis Meunier deviendra l’un d’entre eux dans l’équipe de Kaboul.