«Spellbound», littéralement «envoûté» par ces images de doux-dingues qui volent à près de 200 kilomètres à l’heure à quelques mètres des parois. C’est surtout le commentaire sous forme de slam qui fait la force et l’originalité de ce court-métrage. Bardés de leur wingsuit, ces hommes volants forment une confrérie qui partage les mêmes peurs et les mêmes joies. Frères et sœurs d’un même délire parfaitement – et en l’occurrence poétiquement – assumé.