À pieds nus, les bras en croix et la tête dans les étoiles, histoire de relier deux aiguilles que le vide et 480 mètres séparent… Plus que des alpinistes aguerris, ce sont de véritables artistes qui pratiquent la highline. Une discipline qui oscille – c’est le cas de le dire – entre la haute voltige et l’art de rue. Le fait est qu’il faut en avoir pour se lancer un tel défi, entre ciel et terre. Camille et Antoine n’en manquent pas. Le premier qui dit «à couper le souffle» a gagné…